Documents utiles !! à lire absolument !!

Voici quatre documents qui vous seront bien utiles pour toujours mieux comprendre vos missions de groupes et de classe dans le module.

Nous vous rappelons que deux grandes dates sont à retenir pour vous :

– le 15 mai 2009 : Bilingue en Fête à Brasov (présentation des projets de classe qui regroupera les lycées à section bilingue de Brasov, Ploiesti, Bucarest, Urziceni et Constanta)

– le 29 mai 2009 : épreuve anticipée du baccalauréat à mention bilingue francophone. Soutenance orale individuelle des projets de groupe.

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10 avril 2009. Étiquettes : , , , , , , . Quoi de neuf pour le module des XIe littéraires ?, Quoi de neuf pour le module des XIe scientifiques ?. Laisser un commentaire.

Ensemble pour la francophonie !

Après beaucoup de préparation, nous avons tous profité avec joie et plaisir des événements organisés dans le cadre de la fête de la francophonie et de l’Ecole Centrale.

Ateliers  de cuisine, présentation de projet d’échanges, concours des 10 mots, concours sur l’école, jeux de savoirs, quiz francophonie, chants, tout était réuni pour satisfaire les envies de chacun.

Voici quelques photos souvenirs 🙂

Les 1O mots et « l’Ecole Centrale pour moi? »

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Explcation de « Génome »…

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Explication de « Pérenne »…

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D’autres mots illustrés  par des équipes motivées…

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Présentation des projets interdisciplinaires des XIeme bilingues

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Le quiz Francophonie

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Encore un grand merci aux élèves et professeurs des lycées Gh. Lazar, Spiru Haret et J. Monnet d’être venus à l’Ecole Centrale pour participer à ce quiz.

Merci également au jury : Isabelle Bucurescu, Nicolas Chaudemanche, Charlélie Vuillemin et Hélène Gauthier.

Nous remercions aussi nos partenaires : l’OIF, le SCAC de l’Ambassade de France, la Délégation Wallonie-Bruxelles et le site Vizavi.

26 mars 2009. Étiquettes : , , , , , , . souvenirs souvenirs. Laisser un commentaire.

Le parc Carol I

Le Parc Carol I ou le Parc de la Liberté est un lieu de récréation qui se trouve dans le quatrième arrondisement de Bucarest sur la Colline de Filaret. Le parc a été aménagé entre 1900-1906 après les plans de l’architecte paysagiste français Eduard Redont et, a été inauguré en 1906 pour célébrer les 40 années de règne du roi Carol I. À cette occasion a été organisée une exposition dans laquelle a été presenté le parc de la Liberté.

La surface initiale du parc était de 36ha, sur 2ha de la surface totale a été amenagé un petit lac d’agrément.

Le parc est aménagé dans un style mixte, avec un côté paysagiste dominant, la végétation étant alignée autour de l’Allée Centrale ouverte dans un style géométrique. Pour l’aménagement du parc ont été utilisés 4.206 grands arbres, 5.983 arbres conifères, 48.215 arbustes et, en plus, des nombreuses plantes et fleurs.

Dès le début, le parc avait aussi quelques pavillons d’exposition avec des bâtiments annexés. Conformément aux plans établis de Ştefan Burcuş, Victor G. Ştefănescu et I. Berindei s’est construit un château d’eau, surnommé Le Château fort de Vlad Ţepes.

Devant le Palais d’Art, qui est devenu ultérieurement le Musée Militaire jusqu’en 1938, année durant laquelle le palais est incendié puis démoli après le tremblement de terre de 1940,

s’est construite une grande cascade d’après les plans des architectes Petculescu et Schindl. La cascade était gardée de 3 sculptures effectuées par Filip Marin, Dimitrie Paciurea et Karl Storck. Les 3 sculptures sont : la belle au bois dormant et deux statues représentant deux personnes nues connues sous le nom de « Gigantii ».

Après la construction du Mausolée, les „Géants » ont été deplacés  dans le centre du parc, près de l’entrée de la Place 11 iunie.

Dans le centre du parc il y a „Arenele romane „, un complexe destiné pour les spectacles en plein air  et une mosquée près du lac d’agrément.

Aujourd’hui on peut admirer aussi le Monument des Héros, réalisé par Horia Maicu et Vasile Cucu en 1962, La fontaine « Zodiac »  et aussi le monument du Héros Inconnu.

Georgiana Vlad (XIe F)

Bibliographie

http://www.google.com/search?rlz=1G1GGLQ_ENZZ261&q=parcul+carol+wikipedia&btnG=Search

http://www.cimec.ro/Monumente/ParculCarol/ParculCarol.htm

http://images.google.com/images?hl=en&rlz=1G1GGLQ_ENZZ261&q=parcul%20carol&lr=lang_fr%7Clang_ro&um=1&ie=UTF-8&sa=N&tab=wi

8 mars 2009. Étiquettes : , , . un petit tour à Bucarest. Laisser un commentaire.

Le jardin Cismigiu

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C’est un parc public près du centre de Bucarest, construit tout autour d’un lac artificiel. La création du jardin était un moment important dans l’histoire de Bucarest. Il forme le plus vieil espace vert et qui, avec ses 17 hectares, est le plus grand parc dans la région centrale de la ville. L’entrée principale est au Boulevard Elisabeta, devant l’Hôtel de Ville ; il y a une autre entrée importante qui donne sur le Boulevard Stirbei Voda, près du Palais Cretulescu. Le coin au sud-est du parc est adjacent au Collège  Gheorghe Lazar.

Points de repère

Le Rond roumain ou la Rotonde des Ếcrivains est une allée circulaire qui est bordée de bustes en pierre de douze auteurs roumains importants : Mihai Eminescu, Alexandru Odobescu, Titu Maiorescu, Ion Luca Caragiale, George Coşbuc, Stefan Octavian Iosif, Ion Creangă, Alexandru Vlahută, Duiliu Zamfirescu, Bogdan Petriceicu Hasdeu, Nicolae Bălcescu et Vasile Alecsandri.

La source Sissi Stefanidi, créée par Ioan C. Dimitriu Bârlad (1890-1964), représente une mère, affligée par la mort de sa fille, en versant de l’eau d’un pichet.

D’autres statues trouvées dans Cişmigiu, dont celle du journaliste Gheorghe Panu, sculptée par Gheorghe Horvath et celle de l’auteur et de l’activiste en faveur des femmes Maica Smara (1854-1944), sculptée par Mihai Onofrei.

Histoire

cismi1A partir de 1830, alors que la ville était dirigée, tout comme la Valachie, par le gouverneur Pavel Kiseleff, adepte de la civilisation européenne, les maires de la capitale roumaine rivalisent d’imagination pour moder­niser Bucarest. Parmi les projets de l’époque, l’aménagement d’un jardin pu­blic, à la mode européenne. Le nom de «Cismigiu» provient en fait du surnom du directeur du service des eaux de l’époque, qui possédait une maison dans le faubourg de Sarindar, au bord du lac. Le lac en question était au Moyen Age un endroit in­habité. Le drainage et la transformation du lac Cismigiu et de ses alentours en jar­din public ont commencé en 1836. Le prince Alexandru Dimitrie Ghica en a été le précurseur. Les travaux ont commencé sous l’égide du prince Gheorghe Bibescu en 1844, avec l’aide d’un horticulteur viennois, Friedrich Meyer qui était directeur du Jar­din Impérial de Vienne, en Autriche. Celui-ci a réalisé les plans de l’actuel parc ; il a été aidé par le jardinier Franz Harer.

L’aménagement du parc s’est fini durant l’année 1852, date de l’ouver­ture, effec­tuée par le prince roumain Barbu Stirbey. C’est l’époque de la fri­volité. Les belles dames de la ville ar­rivent en charrette et se promènent ensuite dans les allées, étalant leurs robes sophistiquées et leurs élégan­tes toilettes. Les promenades se pro­longent cismi4généralement tard dans la nuit, et se terminent par un passage au restaurant de la petite presqu’île, le «Monte Carlo», où l’on peut non seulement se restaurer mais aussi jouer au casino. Le parc est plein d’arbres décoratifs, ramenés des jardins de toute la région d’Europe centrale. Les allées sont pavées, et les fontaines artésiennes foisonnent. Les rives du lac sont aménagées, et éclairées pendant la nuit avec des réverbères. Les ponts, coquets, com­plètent l’atmosphère. Ce n’est pas un hasard si le parc Cismigiu a vu la naissance des photographes-minute à Bucarest…

Pourtant, malgré tout, le parc tel qu’on le connaît aujourd’hui a préservé l’at­mosphère des temps anciens. Sans doute parce qu’il n’a pas subi de modifications significatives. Cismigiu est toujours peuplé de vieux monu­ments, dont celui érigé à la mémoire des Héros Français, soldats tombés sur le front roumain en 1917, une oeuvre (en marbre) du sculpteur roumain Ion Jalea. Mais en fin de compte, la véritable beauté du parc réside dans l’œuvre de la Nature, ces paysages pleins de charme, ces allées fleuries, ces voûtes de rosés, ces sentiers qui se perdent dans les vieux arbres… Le parc Cismigiu offre ainsi, dans une ville de plus en plus agitée, un moment de paix à tous ceux qui prennent un moment d’y entrer.

Dans la fiction

On renvoie à Cişmigiu, un endroit de réunion traditionnel pour les Bucarestois, dans plusieurs oeuvres littéraires. Celles-ci incluent notamment plusieurs histories écrites par Ion Luca Caragiale, deux d’entre elles impliquant le caractère collectif Mitică, qui a survécu dans la conscience collective comme un stéréotype du Bucarestois. Dans l' »esquisse » de 1900, le volubile Mitică fait notamment allusion à un ami renvoyé de son emploi, un événement qu’il déguise, d’un ton sarcastique, en promotion, au « fait de chasser des mouches du Cişmigiu ». Dans un autre morceau, intitulé « le 1er avril », les jardins sont la scène d’un incident dramatique qui implique la mort d’un autre ou même de Mitică. Un caractère appelé Caracudi, que Caragiale a inventé comme une caricature de journalistes inventifs, est montré pour élaborer ses articles à sensations en se détendant dans les endroits différents de la ville, dont un est Cişmigiu.

Un roman par Grigore Băjenaru, intitulé « Cismigiu et comp », trace les événements de la vie des élèves étudiant au lycée voisin, qui passent souvent leur temps dans le parc.

Valentina Nastasel (XIe F)

8 mars 2009. Étiquettes : , , . un petit tour à Bucarest. Laisser un commentaire.